Pour apprendre, notre cerveau doit d'abord imaginer ce qu'il va découvrir et projeter sur cette "nouvelle idée" la réalité de ce qu'il connait déjà. Animé par la curiosité, cela va permettre à l'apprenant de s'engager de façon active pour comparer en permanence ses hypothèses avec la réalité. Sans cette motivation (avoir une idée claire du but à atteindre), il ne peut pas y avoir d'apprentissage. Cela devient uniquement un enregistrement passif de ce que quelqu'un d'autre nous dit, de l'expérience de l'autre et non de la sienne propre. 

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Quand nous suivons des indications dirigistes, nous ne pouvons pas ressentir la force de la motivation qui nous pousse à agir.  Nous devenons de bons petits soldats, et perdons  toute confiance en notre capacité à atteindre nos objectifs. Les succès rencontrés ne le sont que grâce aux indications reçues et nous avons du mal à nous en attribuer le mérite.

 

Un sentiment d'impuissance s'installe et l'expertise de "l'autre" devient la référence qui nous pousse à penser "je ne suis pas capable de réussir tout seul,  je n'y parviendrai jamais".

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Etre curieux c'est avoir confiance en soi. Pour cela, durant mes consultations nous évaluerons les situations pour lesquelles vous n'obtenez pas le résultat voulu, pour apprendre ou transformer ce qui doit l'être pour que vous obteniez le succès recherché.

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Quand les expériences vécues sont répétées, les connexions et les circuits cérébraux sont consolidés en 5 ou 6 mois. Si ces expériences sont positives, nous consolidons le succès, si elles sont négatives, nous ancrons l'échec.

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L'épanouissement de l'intelligence d'action demande un minimum de liberté. Il est important de guider, pas d'exiger.

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